Échafaudages et levage

Plutôt que de passer par le charpentier, on a fait appel à un loueur d'échafaudages (aïe le jardin...). C'est plus économique, et comme j'ai suivi la petite formation obligatoire de montage, je me suis dit que ça allait être facile 🙂

 

mais monter l'échafaudage soi-même c'est peut-être pas une bonne idée, ça permet au charpentier de t'envoyer paître quand tu lui dis que le bâchage est mal fait. Bah quoi, c'était pas dans le devis! Et les 2 mois 1/2 prévus se rallongent d'autant, du coup pour le boulot de montage et démontage que ça demande c'est peut-être pas si intéressant... Mais moi, ça m'a plu, et on a quand même économisé 🙂

il faudra juste que je refasse cette formation pour me rappeler des normes...

Et une fois démonté, il reste quand même quelques trucs à soulever, du coup j'ai investi dans un treuil, je pense que ça va bien servir!

Une fois le plafond isolé, plus possible de se fixer sur les poutres, j'ai donc fabriqué une "chèvre", petite grue à poulie (le montage du treuil dessus n'a pas été nécessaire)

j'ai aussi fabriqué un petit abri, le temps de stocker les matériaux (ça prend de la place 2 palettes de chaux hydraulique et 3 palettes de ballots de chanvre, et c'est pas fini, il faut aussi de la chaux aérienne pour les enduits)

Dernière petite construction: une chèvre sur le toit pour pouvoir monter tous les sacs de substrat du toit végétal (si vous avez lu le sujet vous avez vu qu'il y en avait beauuuucoup!).

J'avais pourtant contacté un loueur de matériel pour louer un lève-tuiles, mais impossible à trouver (en fait ces engins servent vraiment à tout, c'est très demandé).

Donc voilà, encore du système D 🙂

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